Les Pouvoirs de la Forêt.

Bonjour !
Si vous me connaissez dejà un peu, vous savez sûrement que je ne partage pas mes histoires, bien que j'en écrit beaucoup. J'écris en permanance, mais, je les gardent, jalousement, pour moi.
Aussi, c'est avec stupeur que je vous offre la lecture de mon nouveau projet : une collection. Bien sûr, je n'en suis qu'au première Tome, et je ne l'ai pas beaucoup avancé, mais moi, quand j'ai une idée en tête, je monte toujours sur mes grands Chevaux.
Ne vous attendez pas à une histoire passionante. Elle est loin d'être bien. Elle est même nulle. J'écris beaucoup, mais vraiment, vraiment, très mal. Alors, préparez un seau pour vomir dedans !

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COLLECTION : LES POUVOIRS DE LA FORET.

TOME I : La Fille de la Forêt.

Chapitre 1 : La Créature.

C’était une fraîche nuit d’été… Très fraîche, même, si on tenait compte que les deux dernières semaines avaient été classées dans la catégorie « canicule ». Les quelques rares personnes qui étaient encore dehors à cette heure durent enfiler des pulls, et rentrer dans leur maison en vitesse, pour ce réchauffer.
Dans sa chambre, une adolescente se retourna dans son sommeil. Elle ne paraissait pas remarquer la fraîcheur ambiante, qui planait également dans sa chambre, et dormait profondément. Trop profondément… On pouvait même croire qu’elle n’avait pas dormi depuis 15 jours, ce qui n’était, cependant, pas le cas.
Soudain, près de la fenêtre de la jeune fille, une créature apparue avec un craquement sec. Quand il vit la jeune fille, le monstre eut un sourire cruel. Il murmura, satisfait :
-Parfait ; mon plan à très bien marché. Elle dort comme une souche.
Il fit alors un mouvement ample de la main, et, avec un ricanement sonore, il disparut.
Quand il partit, la fraîcheur quitta la ville avec lui. A l’endroit où il se tenait auparavant reposait une épaisse couche de neige, et ne chaleur bienfaitrice remplaça la glaciale température qui régnait dans l’air. Mais, malgré ce nouveau changement climatique, la jeune fille ne daigna pas se réveiller. Elle dormit ainsi jusqu’au matin.
Le lendemain fut une journée tout à fait normale pour la fillette. Elle alla à l’école, et travailla, comme toujours, parfaitement.
En rentrant chez elle, le soir, elle s’attendait à vivre une nuit, comme à son habitude, peuplée de rêves et de ronflements.
Aussi fut-elle tout à fait surprise, quand, alors qu’elle commençait à s’endormir, elle sentit son oreille être picorée.
Vive comme l’éclair, elle se redressa, et essaya de percer l’obscurité. Au bout de quelques minutes, elle remarqua une présence sur son oreiller. Après avoir détaillée celle-ci, la fillette soupira, soulagée, et dit :
-Ouf, ce n’est qu’un Oiseau !
Une voix courroucée s’éleva alors du néant :
-Comment cela, qu’un Oiseau ?!
-Ce n’est pas ce que je voulais dire, se reprit la jeune fille. J’étais juste effrayais, puis rassurée, que c’était vous, un magnifique et gentil Oiseau, qui m’avait mordillé l’oreille, et non quelque chose de plus agressif.
-Voilà qui est mieux, dit le Volatile, satisfait.
Puis, l’adolescente se rendit compte de quelque chose, qu’elle et, jusqu’à cette nuit là, cru impossible.
-Mais, mais, mais, vous parlez, bredouilla-t-elle, stupéfaite.
-Ah bon ? Je ne m’en était pas rendu compte, railla le concerné.
-Mais ce n’est pas normal !
-Ma petite, dans les jours qui viennent, tu vas voir que tout ce que tu trouvais normal, ne l’est pas forcément.
La jeune fille fronça les sourcils. Elle qui détestait les phrases mystérieuses, elle venait d’être servie !
Après un court silence, l’Oiseau reprit la conversation :
-Dis-moi, ma grande, comment t’appelles-tu ?
-Kunjana Yaninga, à votre service, répondit celle-ci, en faisant une petite révérence.
L’Oiseau eut une sorte de petit sourire, puis parut songeur, et ensuite, franchement hébété :
-Tu as bien dit que tu te prénommes Kunjana ?!
Cette dernière hocha affirmativement la tête, et dit, l’air gênée :
-Oui, je sais, mon prénom est très bizarre. On m’a souvent taquiné, à l’école, à cause de lui. Mais, je l’aime bien, ajouta-t-elle, un air de défi sur le visage.
L’Oiseau ne fait pas attention, ou ne remarqua pas, son interruption.
-Alors, le vieux fou n’a donc pas menti, marmonna-t-il Elle a un futur glorieux !... Kunjana… M’en voilà tout retourné !
La concernée attendit poliment une explication, car elle n’avait pas compris ce que disait l’Oiseau, celui-ci produisant seulement quelques vagues grognement, mais en vain. Il ne parut pas important de s’expliquer, et changea brusquement de sujet :
-Dis-moi, Kunjana, une personne chargée de surveiller le périmètre, autour de ta maison, m’a signalé une anomalie : elle m’a déclarée qu’hier soir, il c’est déroulé un bref, mais glacial, changement climatique. Comme cette personne est un peu folle, j’aimerais que tu me confirmes, ou démontre, ce rapport.
La jeune fille eut l’air désorientée, puis dit, d’une voix mal assurée :
-Alors là, je n’en sait strictement rien ! Excusez-moi, Monsieur l’Oiseau, mais je ne me souviens seulement d’un trou noir, car je dormais très profondément.
Elle se dandina, gênée de ne pas pouvoir aider le Volatile.
Celui-ci émit un grognement déçu, et il dit :
-Alors, ceci n’est qu’une fausse rumeur, car, si cette baisse de température aurait véritablement eu lieu, tu aurais dû te réveiller.
Kunjana haussa les épaules, et expliqua :
-Ma mère dit souvent que je dors comme un boulet de canon dans une prairie. C’est-à-dire que rien, ni personne, ne peux réussir à me réveiller ; pas même un Eléphant barrissant dans mon oreille.
L’Oiseau, inquiet, hocha simplement la tête, puis ce mura dans un silence songeur. Kunjana, ayant envie de briser la glace, se rappela d’un point qu’elle n’avait pas encore analysé, et demanda à son ami :
-Vous m’avez dit que quelqu’un tait chargé de surveillance, dans ce périmètre. Mais, que devait-il observer. Et, qui est cette personne, soi-disant folle ?
L’Oiseau eut d’abord l’intention d’ignorer la jeune fille, pour ne pas avoir à lui répondre. Mais, celle-ci dardait sur lui des yeux perçants, qui lui ôtaient tous ses moyens. « Je devrais quand même lui dire, pensa l’Oiseau. Après tout, ça la concerne ».
-Alors ? Demanda Kunjana.
-Hum, dit-il, gêné. Je ne pensais pas avoir à te le dire si tôt.
Il se racla la gorge, et voleta nerveusement dans la chambre. Pour finir, il se posa sur le bureau, encombré de romans, de la jeune fille. Essayant de tenir en équilibre sur une pile particulièrement chancelante, il évita le regard de la jeune fille, et marmonna rapidement :
-Tu es une Elfe, et tu sais faire de la Magie, et c’est toi qu’on est chargé de surveiller ; car nous voulions voir quand tes pouvoirs arrivaient à maturité, pour que je te communique toutes les informations. Ce jour est enfin arrivé, ce qui explique ma présence ici.
-QUOI !!! S’exclama la concernée.
-Tu m’as très bien entendu.
Abasourdie, la jeune fille resta d’abord bouche bée, incapable d’articuler un seul mot, puis, elle se reprit, et se mit à courir en sautillant dans la pièce, avant de se rappeler que ses parents dormaient. Elle se calma, et, enchantée, dit à l’Oiseau :
-C’est vrai ?! Mais c’est super ! Génial !
Puis, suspicieuse, elle ajouta :
-Ce n’est pas une méchante blague ? Vous ne vous moquez pas de moi ?
Elle alluma sa lampe torche, pour voir l’expression dénudée de tout sourire, et sérieuse, du Volatile
-Si, si, je me moque, railla l’Oiseau, c’est normal, un Oiseau qui parle.
Kunjana, trop heureuse, ne prit pas la Mouche, et son ami évita de se prendre une remarque bien sentie.
-Mais, demanda la fillette, après le premier moment de joie. Comment cela se fait-il que je sois une fille comme les autres, si je suis une Elfe Magicienne ? Je n’ai pas d’oreilles pointues, et tout le blabla, et je n’ai jamais fait de la Magie.
L’Oiseau soupira, et, pestant contre la curiosité trop aiguisée de Kunjana, fit un clin d’œil, sans raison apparente.
Soudain, la jeune fille se roula par terre, sa peau formant des vaguelettes, comme si elle fondait. Elle voulu pousser un cri, mais, ses cordes vocales ne lui obéissaient plus. Elle ne souffrait pas, mais elle ressentait une sensation étrange… Comme si des milliers de mains malaxaient son corps, cherchant à le déformer.
Au bout de quelques instants, où Kunjana fit une aimable connaissance avec le sol, sa peau cessa de bouillir. Elle se sentait normal, et, aussitôt, sans attendre, sauta sur ses pieds, avec une agilité qui la surprit.
Mais elle était tellement furieuse qu’elle s’en rendit à peine compte.
-Que m’avez-vous fait ? Hurla-t-elle, en pointant un doigt accusateur vers l’Oiseau, qu’elle considérait comme son ami.
Celui-ci répondit calmement :
-Regarde-toi dans un miroir.
Incertaine, l’adolescente obéit. Et ce qu’elle vit l’ébranla fortement. Devant elle, au lieu de l’habituelle Kunjana Yaninga, son miroir lui renvoya l’image d’une Elfe. D’une magnifique Elfe. Celle-ci avait les cheveux d’un noir de jais, qui lui descendaient, tel une cascade, en dessous de la taille, des yeux verts émeraudes, qui semblaient aspirer toute personne qui les regardait. Ses oreilles étaient désormais longues et effilées, comme la lame d’un couteau. Elle était à présent d’une taille considérable, surtout pour ses douze petits ans. Son corps était fin et mince, mais, malgré cette apparente fragilité, on devinait qu’elle était d’une force incroyable, et d’une rapidité surprenante. Elle faisait aussi preuve, dans ses moindres mouvements, de souplesse et de silence.
Stupéfaite, Kunjana ouvrit la bouche, mais ne pus rien articuler. Croyant que son reflet était une illusion, elle se gratta le nez. Le miroir fit de même. Alors, elle exécuta, avec son nouveau corps, une série de figures très compliquées. Son reflet devint flou, à cause de sa rapidité, mais il reproduit fidèlement ses prouesses.
-Je rêve, dis Kunjana d’une voix blanche.
L’Oiseau pépia, amusé.
-Tu avais tout de même l’air heureuse, tout à l’heure.
La fillette, trop occupée à tendre l’oreille, à scruter sa chambre, et à humer l’air, ne répondit rien.
Puis, éteignant la lampe, elle dit, grisée :
-Waouh ! J’arrive même à voir dans l’obscurité ! C’est fabuleux, magnifique ! Les Elfes ont les sens tellement plus développés que les humains ! C’est… Magique !
-Je suis content que ton nouveau corps te plaise, dit l’Oiseau en souriant. Certaines personnes ont du mal à si faire, ce qui n’a pas l’air d’être ton cas. Et, ma grande, je dois te prévenir que, dans les heures à venir, tu trouveras de nombreuses choses magiques, et, pas seulement ta transformation.
Kunjana hocha la tête, et, après quelques instants, dit, ayant réfléchi :
-Mais, alors, si je suis une Elfe Magicienne cachée, mes parents le sont aussi, non ?
L’Oiseau n’esquissa pas même un sourire. L’air soucieux, il fit signe à l’adolescente de s’asseoir. Celle-ci, soudainement inquiète, exécuta l’ordre de son ami. Elle était nerveuse. Chaque fois que le Volatile lui avait avoué quelque chose d’important, sa vie avait, peu à peu, changé.
-A propos de tes parents, commença-t-il.
-Ils vont bien ? Ils sont malades ? L’interrompit la jeune fille.
-On ne va pas y arriver, si tu me coupes à chaque phrase, Kunjana. C’est déjà assez dur comme ça, sans que tu n’en rajoutes, dit son ami, agacé.
Kunjana ne dit plus un mot, le ventre serré par l’angoisse.
L’Oiseau se racla la gorge –ou plutôt, le bec-, et, nerveux à son tour, prit la parole :
-Hum, les gens qui sont dans la pièce d’à côté ne sont pas tes parents.
-Hein ?! S’exclame la jeune fille, abasourdie.
Il ne répéta rien, jugeant que Kunjana avait parfaitement entendu, mais, était en état de choc. « Trop de grandes nouvelles en si peu de temps… Le Chef aurait du attendre qu’elle soit un peu plus âgée, et plus prête. Elle est si faible, encore. Elle va finir par mourir, à cause de toutes ces émotions ! », songea l’Oiseau.
Mais, la réponse de la jeune fille l’étonna fortement :
-Je m’en doutait, dit-elle, d’une voix, néanmoins, chevrotante. J’étais heureuse avec eux, mais, quelque part, au fond de mon âme, une petite voix me disait que nous étions différent, et, pas du même sang.
Le Volatile ouvrit de grands yeux stupéfaits. Décidément, cette Kunjana l’étonnerait toujours. N’importe quel autre enfant, de son âge, ou plus grand, aurait été déstabilisé, et aurait, sûrement, pleuré ; si on lui aurait annoncé une nouvelle pareille, aussi choquante. Mais, pas la petite Yaninga. Elle semblait même être au courant de toute l’affaire ! Cette jeune fille était épatante. De nouveau, l’Oiseau songea aux paroles du « vieux fou », comme il l’appelait. Il semblait avoir, une fois de plus, raison. Après tout, cette jeune fille avait passé avec eux douze ans, douze ans de bonheur, et elle n’était même pas surprise. « Stupéfiante ! », pensa-t-il.
Pendant qu’il pensait à Kunjana, cette dernière, qu’il considérait à présent comme sa protégée, s’était levée, et regardait le soleil qui commençait, déjà, à se lever. « Qui se lève sur une nouvelle vie », se dit-elle. Elle l’admira encore pendant quelques instants, puis reprit, la voix mélangée par de la tristesse, mais aussi de la colère :
-Mais, malgré tout, ils auront pu me dire la vérité sur mes origines. Ils auraient du me dire la vérité sur moi-même. Nous ne venions pas de la même famille, mais, on s’aimait comme tel ! En tout cas, moi, je les aimait comme tel, se reprit-elle. Et moi qui leur faisais confiance.
-Je suis sûr qu’ils avaient de bonnes raisons pour te cacher la vérité, le réconforta l’Oiseau, d’une voix douce.
En réalité, il connaissait les dites raisons, mais il trouvait qu’il avait annoncé suffisamment de nouvelles particulièrement éprouvantes à son amie, et il laissait volontiers le relais aux faux parents. Et puis, après tout, c’était à eux de se justifier, pas à lui de le faire à leur place !
Fort de cette décision, il ajouta, à l’adresse de Kunjana :
-Tu leur demanderas des explications, un autre jour, ma grande.
-Tout de suite, rétorqua-t-elle fermement.
« Non, elle n’est pas encore prête à tout entendre », protesta mentalement le Volatile. Et il essaya alors de retirer cette idée de la tête de la fillette, mais celle-ci fut inflexible.
Alors, soupirant de résignation, l’Oiseau l’escorta jusqu’à la chambre des, soit disant, parents. Comme ils n’y étaient pas, Kunjana tendit l’oreille. Sa formidable, et toute nouvelle, ouïe d’Elfe, repérèrent immédiatement les deux personnes, qui se trouvaient dans le salon.
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Vous avez vu, je vous l'avez bien dit, elle est nulle, cette histoire ! J'écris mal, mais mal !
Désolé pour le vomi, mais, maintenant, vous devez faire le ménage !

Pour plus de commodité, je rajouterais toujours la suite de mon histoire dans ce message, afin que vous n'ayez pas à chercher la suite, comme des forcennés ! Quoique, je doute que vous vouliez la lire, tellement elle est nulle !

allons tu exagère, j'ai JUSTE eu un mal de coeur
non, en faites, c'est excellent. juste que...tu a un style d'écriture assez...spécial. ce qui ne marche pas, à mon avis, c'est quelle trouve ca normal. mais, pour que ca marche, tu devrais mettre des phrases du genre " mais tout au fond d'elle même, elle avait toujours sut cela, comme si c'était une seconde nature, une autre Kunjana. Et cette Kunjana là savait tout et ne s'en étonnait guère..."
mais c'est juste un conseil d'une critique sévère(et donc: moi). et toi, ta de la chance: pour moi, potter c'est pourrit comme livre alors si je dit que ton histoire est bonne, c'est que c'est bon!^^